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Femmes sans importance

Spectacle conçu et mis en scène par Martine DELEUZE

Selon les versions, il a comporté quatre ou cinq courtes pièces en un acte écrites par Jean COCTEAU, René de OBALDIA, Gildas BOURDET et Alan Bennett.

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Avec (en alternance, selon les versions) : Florence CHAPUT, Jean-Pierre CUVELIER, Martine et Philippe DELEUZE, Jocelyne FEHRE, François LEGALLAIS, Martine LUCAS, Jean-Paul MARTINEAU, Caroline SAN MIGUEL, Philippe VANZO.

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Arguments des pièces : 

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Le bel indifférent (Jean COCTEAU)

Une chanteuse déambule dans sa chambre d'hôtel à l'affût du moindre bruit : elle attend le retour d’Emile. A son arrivée, lui n'aspire qu'à une chose : se détendre en lisant tranquillement son journal. Face à la froideur d'Emile, tous les moyens sont bons pour attirer son attention. Mais arrivera-t-elle à briser cette indifférence muette ?

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Loge 38 (Gildas BOURDET)

Lorsque Mademoiselle Brune entre dans la loge du concierge à la recherche du double de ses clefs, elle n’imaginait pas devenir la complice d’un assassin légitime par strangulation ! Oui mais voilà : Monsieur Lureau, le concierge, vient de remporter la super cagnotte du Loto et d’estourbir son chameau de bonne femme ! Que faire ? Donner l’alerte ou aider le veuf à dépenser sa fortune dans les mers du sud ?

 

Rue chaude (Gildas BOURDET)

En arpentant son trottoir habituel, Mirna ne s’attendait pas à tomber sur lui, l’inspecteur Chauvier. Que veut-il ? Monter ? Non, il n’est pas là pour ça. Il est venu pour faire tomber Lucien, le julot de Mirna. Et pour lui faire une proposition qu’elle ne peut pas refuser selon lui. Pourtant, elle va lui tenir tête, à cet inspecteur qui s’intéresse de prêt à l’immobilier. Aura-t-elle le dernier mot ?

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​Edouard et Agrippine (René de OBALDIA)

Edouard et Agrippine forment un couple âgé qui n’a plus rien à se dire. Chacun d’eux vit dans son monde intérieur, sourd aux propos de l’autre. L’arrivée d’un troisième personnage, a priori dangereux, sera l’occasion d’une véritable délivrance pour Edouard, l’amateur de philosophie, qui se verra débarrassé d’Agrippine. Pourtant, si la méchanceté d’Agrippine est présente dans chacune de ses phrases, la cruauté d’Edouard éclatera, elle, à son heure.

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Une femme de lettres (Alan Bennett)

​Miss ruddock vit seule mais elle écrit beaucoup. Trop, même ! à la fois commère et corbeau, elle fait vivre un véritable enfer à son voisinage. Où trouvera-t-elle la rédemption ?

 

Ce spectacle a été joué en 2008 à Groslay, Montmagny et Viarmes.

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